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QUE VOIR AU CINÉMA ?
MINI CRITIQUES DE FILMS POSITIVES PAR UNE CINÉPHILE, POUR LES ASPIRANTS CINÉPHILES


« Comment devenir riche (grâce à sa grand-mère) »
de Pat Boonnitipat (Lahn Mah, 2024)
« Comment devenir riche (grâce à sa grand-mère) » est le genre de petit film qu’on ne voit typiquement pas venir, celui qu’on n’attends pas et qui vient nous surprendre pour mieux nous séduire. On part d’une intrigue simple, l’histoire d’une grand-mère à qui on découvre un cancer. Un élément déclencheur
16 avr.1 min de lecture


« Sinners »
de Ryan Coogler (2025)
Un autre blockbuster américain, certes, mais qui surprend et s’impose comme une belle proposition dans son genre. Tout démarre avec ce qui parait être une intrigue au cœur de la ségrégation, sur fond de menace du KKK
15 avr.2 min de lecture


« La Jeune femme à l'aiguille »
de Magnus Von Horn (Pigen med nålen, 2024)
Magnus Von Horn, réalisateur danois qui s’est fait connaître grâce à « Efterskalv » en 2015, et puis « Sweat » en 2020, revient avec une proposition très différente en nous livrant avec « La Jeune femme à l’aiguille » un film d’auteur pur, aux accents de cinéma expérimental. Inspiré d’une histoire vraie
9 avr.1 min de lecture


« The Last Showgirl »
de Gia Coppola (2024)
Petit film simple et dramatique, « The Last Showgirl » porte un regard tendre et empathique sur le déclin de la carrière d’une femme n’ayant plus sa jeunesse pour la porter au succès. Une thématique très actuelle, touchant encore aujourd’hui, beaucoup de femmes du show-business ; capturée par une caméra sans filtres pour
12 mars1 min de lecture


« Parthenope »
de Paolo Sorrentino (2024)
Sorrentino fait du grand Sorrentino, il nous entraîne dans une bulle, dans sa bulle, à la fois tragique et hypnotisante, poignante et opulente ; tout en mélangeant majestueusement le vulgaire au sublime. Avec ce dixième long-métrage, il en revient à cette thématique qui lui est si chère et à cette vision
12 mars1 min de lecture


« L'Attachement »
de Carine Tardieu (2025)
Une histoire moderne, mais surtout le portrait d’une femme moderne, indépendante et libérée qui se laisse, malgré elle, gagner par un attachement indescriptible et puissant, de façon complètement inattendue. Valeria Bruni Tedeschi donne remarquablement vie à ce personnage réservé, grâce à une interprétation bien différente des rôles auxquels elle nous habitue,
19 févr.1 min de lecture


« The Brutalist »
de Brady Corbet (2024)
Un récit dense et intense prend vie à travers un film à la forme exceptionnellement bien travaillée, et merveilleusement réalisé. Tout est à point, le propos fort, raconté avec bienveillance, sans être larmoyant, la mise en scène maîtrisée, l’esthétique minutieuse, dans une temporalité entraînante - 3h35 qu’on ne voit pas passer
12 févr.1 min de lecture


« Mémoires d'un escargot »
de Adam Elliot (Memoir of a Snail, 2024)
Un petit film en stop motion qui s’inscrit déjà dans le haut du classement des films que nous propose cette année 2025. Ce petit film indépendant accompagne la gravité de son récit par des pointes d’humour, le rendant davantage sensible et débordant d’humanité. Grâce à son attention
15 janv.1 min de lecture


« Je suis toujours là »
de Walter Salles (Ainda Estou Aqui, 2024)
« Je suis toujours là  » s’inscrit indéniablement comme l’un des films les plus marquants de ce début 2025. À travers ce drame historique à l’intrigue linéaire classique, Walter Salles donne vie à des personnages qui ravivent un passé douloureux de son pays, profondément bouleversants. Une tragédie racontée via une
15 janv.1 min de lecture


« Babygirl »
de Halina Reijn (2024)
Le brio de « Babygirl », c’est qu’il nous emmène là où on ne s’y attend pas. Ce film, d’apparence simple et érotique, nous surprend et nous embarque bien plus loin que la thématique du rapport de force, paraissant être l’évident moteur de l’intrigue. « Babygirl », c’est le parcours d’une femme, son chemin de
15 janv.1 min de lecture
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