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« Sinners »

  • Photo du rédacteur: Charlotte Fuga
    Charlotte Fuga
  • 15 avr.
  • 2 min de lecture

de Ryan Coogler (2025)

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Un autre blockbuster américain, certes, mais qui surprend et s’impose comme une belle proposition dans son genre.


Tout démarre avec ce qui parait être une intrigue au cœur de la ségrégation, sur fond de menace du KKK encore bien présente, aux États Unis.


Michael B Jordan, tout aussi sexy en costume deux pièces, endosse le rôle de deux jumeaux, Stack et Smoke, de retour dans leur ville natale pour se réapproprier ce qui leur appartient et vivre enfin la vie dont ils ont toujours rêvé.


Au delà des beaux yeux (ou biceps) de Michael, ce qui fait la force de « Sinners » c’est son éclectisme, l’agilité à mélanger les genres, les sons et les époques - passer du film historique aux accents de thriller, au film d’action, pour ensuite y glisser une pincée de fantastique et une dose d’horreur ; avec une aisance tout à fait naturelle qu’on ne viendrait même pas questionner.


Le tout, accompagné d’un autre protagoniste, un autre personnage à part entière, le blues, ce coup de génie qui apporte toute sa substance au film et fait de certaines scènes des moments de cinéma épiques et uniques.


Bien que le film ait ses petites imperfections, il s’impose comme un moment de cinéma jouissif et divertissant, davantage encore pour les mangeurs de popcorn.


Si Michael B Jordan, le côté blockbuster, le mélange des genres et le blues ne suffisent pas pour vous convaincre d’aller voir « Sinners », allez-y au moins pour la séquence de danse mémorable qui anime la nuit d’inauguration du juke-joint des frangins, magistralement mise en scène et dont l’énergie vibrante n’est pas prête de quitter les esprits de sitôt.


Sortie salle (France) : 16 avril 2025, Warner Bros Discovery France


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