QUE VOIR AU CINÉMA ?

de Joachim Trier (2025) Après « Thelma », « Oslo » et « Julie en 12 Chapitres » tous les trois bien différents, chacun acclamé par la critique, le pari était risqué. Joachim Trier avait mis sa propre barre très haut, mais il ne s’est pas trompé

de Thierry Klifa (2025) Inspiré très librement de la riche héritière de L’Oréal, Thierry Klifa nous livre avec « La Femme la plus riche du monde » un film dramatique aux accents de comique, qui prend route son ampleur

de Wes Anderson (2025) Avec « The Phoenician Scheme », Wes Anderson revient au cinéma de ses débuts. Une intrigue plus simple et linéaire accompagne ses personnages, aussi originaux que caricaturaux ;

de Bogdan Mureşanu (Anul Nou Care N-A Fost, 2024) Roumanie, décembre 1989. Le régime de Ceaușescu bat son plein et les habitants vivent dans l’espoir d’un changement soudain, mais qui paraît lointain et

de Ken Scott (2025) Tiré d’une histoire vraie et adaptation du roman autobiographique de Roland Perez, « Ma mère, dieu et Sylvie Vartan » est une belle lettre

de Luca Guadagnino (2024) Avec « Queer », Luca Guadagnino retrouve le cinéma de ses débuts, plus onirique, plus sentimental, où même la déchéance est tournée en beauté et traitée avec sensibilité.  Adapté du roman de William S. Burroughs, le « Queer » de Guadagnino nous embarque dans le voyage presque psychédélique d’un homme obsédé par ses désirs et

de Emmanuel Courcol (2024) Deux frères, séparés dans leur plus tendre enfance, se retrouvent et se découvrent par le triste hasard de la vie lorsque l’un d’entre eux apprend qu’il est atteint d’une leucémie. Si ces deux frères ont vécu jusqu’ici des vies opposées, sans avoir les mêmes possibilités

de Sean Baker (2024) C’est au travers d’un personnage féminin fort, touchant et plein de vulnérabilité que Sean Baker nous offre, dans ce 8e long métrage, une fresque contemporaine du rêve américain. Le brio de ce film, au delà de l’interprétation de la jeune Mikey Madison qui crève l’écran, c’est l’absurde, le comique et parfois

de Valeria Bruni Tedeschi (2022) Un plongeon dans les années 80, plongeon dans cette jeunesse à l’esprit léger, libertin et passionné. Plongeon dans la vie d’artistes, désireux de se trouver, de se réinventer et réinventer le monde. Un plongeon dans la jeunesse de sa réalisatrice, récit de fiction aux accents beaucoup plus réels que ce

de Rebecca Zlowtowski (2019) Avec ce petit film, Rebecca Zlotowski nous livre le portrait bienveillant d’une femme libre. C’est grâce au regard adorateur et naïf de Naïma, adolescente de 16 ans confrontée à la vision ouverte et quelque peu libertine de sa cousine Sofia, que le message féministe de ce film prend de l’importance. C’est