QUE VOIR AU CINÉMA ?

de Amélie Bonnin (2025) Sans trop d’attentes, ce petit film peut agréablement surprendre. Il suit avec tendresse Cécile, ce personnage féminin ancré dans son temps, carriériste et ambitieux, indépendant et féministe,

de Karim Moussaoui (2025) L’histoire d’un homme qui, avec le décès de son père et l’éloignement de son frère, se perd complètement. Ce film, c’est sa quête

de Mourad Winter (2024) Pour son premier long métrage, Mourad Winter choisit d’adapter son propre livre au cinéma. Un premier long métrage sans prétention, qui nous séduit par son scénario simple et linéaire,

de Ken Scott (2025) Tiré d’une histoire vraie et adaptation du roman autobiographique de Roland Perez, « Ma mère, dieu et Sylvie Vartan » est une belle lettre

de Paolo Sorrentino (2024) Sorrentino fait du grand Sorrentino, il nous entraîne dans une bulle, dans sa bulle, à la fois tragique et hypnotisante, poignante et opulente ; tout en mélangeant majestueusement le vulgaire au sublime. Avec ce dixième long-métrage, il en revient à cette thématique qui lui est si chère et à cette vision

de Carine Tardieu (2025) Une histoire moderne, mais surtout le portrait d’une femme moderne, indépendante et libérée qui se laisse, malgré elle, gagner par un attachement indescriptible et puissant, de façon complètement inattendue. Valeria Bruni Tedeschi donne remarquablement vie à ce personnage réservé, grâce à une interprétation bien différente des rôles auxquels elle nous habitue,

de Walter Salles (Ainda Estou Aqui, 2024) « Je suis toujours là » s’inscrit indéniablement comme l’un des films les plus marquants de ce début 2025. À travers ce drame historique à l’intrigue linéaire classique, Walter Salles donne vie à des personnages qui ravivent un passé douloureux de son pays, profondément bouleversants. Une tragédie racontée via une

de Hiroshi Okuyama (Boku No Ohisama, 2025) Petit film, mais petite pépite. Un poème en images, une petite merveille qui brille de sa simplicité. Musique classique, couleurs pastels, scénario on ne peut plus simple et dialogues minimalistes, sur un décor de paysages calmes des campagnes japonaises. Des personnages attachants dont la naïveté et les trajectoires

de Noémie Merlant (2024) Manifeste féministe et féminin, « Les Femmes au Balcon » s’impose comme une sorte de « Fenêtre sur Cour » contemporain et progressiste. Drôle, absurde et complètement déjanté, le film jongle à merveille entre les différents genres du comique, de l’horreur et du drame. Grâce à trois personnages principaux féminin aux quelques clichés et stéréotypes

de Ludovic et Zoran Boukherma (2024) Fresque familiale et coming of âge adolescente, cette adaptation du Prix Goncourt 2018, roman de Nicolas Matthieu nous entraîne avec ses personnages du début à la fin.&nbsp; Bouleversant et émouvant, ce film ravive, à travers son protagoniste maladroit, adolescent qui tente de sortir de sa chrysalide pour devenir papillon ; [&hellip;]</p>