QUE VOIR AU CINÉMA ?

de Charlotte Devillers & Arbnaud Dufeys (2025) Après plusieurs années de bataille pour défendre ses enfants, Alice se retrouve à nouveau au tribunal de la jeunesse pour plaider la garde exclusive de ses enfants devant une juge. Un moment douloureux pour elle, mais surtout pour ses enfants, obligés de recroiser leur père après avoir fermement exprimé le besoin de couper les ponts depuis deux ans. 

de Alexe Poukine (2025) Kika est assistante sociale et vit une vie tranquille à Bruxelles avec sa fille et son compagnon, jusqu’à ce qu’à la rencontre inattendue de David lui révèle des sentiments profonds et passionnels, qu’elle ne se pensait plus capable de ressentir. Le jour où David décède, le monde de Kika s’écroule. Pour subvenir à ses besoins, elle est contrainte de se lancer dans une activité hors du commun. Activité qu’elle prend d’abord de haut, avant d’y trouver sa

de Solange Cicurel (2025) Emma a 16 ans. Emma est en colère. Emma se sent profondément seule. Un jour, Emma veut que ça s’arrête.

de Jean-Pierre et Luc Dardenne (2025) « Jeunes mères » c’est le destin de Jessica, Perla, Arianne, Julie et Naima, cinq adolescentes hébergées dans une maison maternelle, où elles apprennent à devenir mères. 

de Ken Scott (2025) Tiré d’une histoire vraie et adaptation du roman autobiographique de Roland Perez, « Ma mère, dieu et Sylvie Vartan » est une belle lettre

de Gints Zilbalodis (2024) Une vraie pépite du cinéma d’animation, une proposition comme on n’en avait encore jamais vu au cinéma.  Au travers une animation 2D minutieusement travaillée, on suit plusieurs animaux face aux catastrophes naturelles de leur écosystème. C’est 1h25 d’images envoûtantes et de mélodies entraînantes, pas un dialogue ne fait avancer cette intrigue.

de Davy Chou (2023) Freddie, qui devait partir à la découverte du Japon, est finalement déroutée en Corée du Sud, sur les traces de ses origines. Divisé en trois parties, chacune correspondant à une phase du deuil de son abandon, « Retour à Séoul » nous livre avec sensibilité et douceur la bataille intérieure d’une enfant perdue,

de Marc Fitoussi (2022) En apparence, « Les Cyclades » est un film qui en dit peu, qui tente peu, qui ne tape pas dans l’œil. Dans le fond, la preuve qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Ce petit film est à lui tout seul une pilule de vitalité, une bouffée d’air frais, d’optimisme

de Lukas Dhont (2022) Quelle épreuve que le passage de l’enfance a l’adolescence. On oublie facilement la puissance de cette étape d’une vie et à quel point elle contribue à nous construire. A travers le récit de l’amitié fusionnelle entre deux jeunes garçons, Lukas Dhont met en lumière tous les dégradés d’émotions et de sentiments

de Dominik Moll (2022) Bouleversant et cru, « La Nuit du 12 »  est troublant par son réalisme. Atmosphère sombre, policiers tourmentés, le film raconte une quête de justice pour la violence faite aux femmes, une lutte pour la vérité, qui n’arrive malheureusement jamais. Le génie de ce film gît dans son scénario, d’une écriture précise et