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« Kika »

  • Photo du rédacteur: Charlotte Fuga
    Charlotte Fuga
  • 12 nov.
  • 1 min de lecture

de Alexe Poukine (2025)


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Kika est assistante sociale et vit une vie tranquille à Bruxelles avec sa fille et son compagnon, jusqu’à ce qu’à la rencontre inattendue de David lui révèle des sentiments profonds et passionnels, qu’elle ne se pensait plus capable de ressentir. Le jour où David décède, le monde de Kika s’écroule. Pour subvenir à ses besoins, elle est contrainte de se lancer dans une activité hors du commun. Activité qu’elle prend d’abord de haut, avant d’y trouver sa façon singulière de faire enfin son deuil. 


Un petit film qui affronte un sujet lourd et touchant, raconté néanmoins avec la juste touche d’humour qui réussit à renforcer davantage son propos. 


Filmé avec une vraie bienveillance, la réalisatrice Alexe Poukine ne juge pas, bien au contraire, elle met en lumières des femmes et une profession tassée dans l’ombre et cherche, à travers le personnage brisé et naïf de Kika, à comprendre celles qui l’exercent et ceux qui le demandent. D’apparence très simple,  minimaliste et plein de réalisme dans sa mise en scène, « Kika » nous émeut autant qu’il nous divertit. 


Enfin, Manon Clavel dans le rôle titre nous livre une interprétation d’une justesse bouleversante. 


Un film humain, très féminin, qui aborde la question du deuil avec véracité, sous un prisme original et unique.


Sortie salle (France) : 12 novembre 2025, Condor Distribution


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© 2025 by @lavisdecharlie

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