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QUE VOIR AU CINÉMA ?
MINI CRITIQUES DE FILMS POSITIVES PAR UNE CINÉPHILE, POUR LES ASPIRANTS CINÉPHILES


« Les Étendues imaginaires »
de Siew Hua Yeo (A Land Imagined, 2019)
Au milieu de la zone industrielle de Singapour, de ses chantiers poussiéreux et des néons d’un cyber café, Yeo Siew Hua nous plonge dans un thriller aux accents dramatiques et aux personnages mystérieux. Une course poursuite rythmée par une bande originale envoûtante, allant du jazz chinois Ã
6 mars 20191 min de lecture


« La Favorite »
de Yorgos Lanthimos (The Favourite, 2018)
Un festin de costumes et de décors accompagné d’actrices remarquables baignant dans une mise en scène de maître. En mélangeant le loufoque à l’absurde, le rire a l’extravagance et la satire au grotesque, Yorgos Lanthimos nous livre le portrait poignant d’une société hypocrite et égoïste où l’arrivisme est reine.
6 mars 20191 min de lecture


« La Flor »
de Mariano Llinás (2019)
Les lumières de la salle s’éteignent, le projecteur s’allume, les premières images apparaissent à l’écran. Un homme, la cinquantaine, s’adresse directement au spectateur face caméra. C’est Mariano Llinás lui-même, qui schématise sous la forme d’une fleur les diverses narrations que nous allons suivre, ou plutôt tenter de suivre, lors du visionnage.
6 mars 20193 min de lecture


« Les Éternels »
de Jia Zhangke (Jiang Hu Er Nü, 2019)
Ce polar chinois nous plonge dans le réalisme de la pègre et au cœur d’une violence masculine dominante et oppressante. Outre sa mise en scène expérimentale qui rend les scènes de violence presque poétiques, la force de ce mélodrame en trois actes gît dans le personnage de
27 févr. 20191 min de lecture


« Celle que Vous Croyez »
de Safy Nebbou (2019)
Juliette Binoche est Claire, une cinquantenaire qui se sent revivre grâce a une relation virtuelle construite sur Facebook, en s’appropriant l’identité d’une jeune fille de 24 ans. Un thriller dans lequel Safy Nebbou dresse le portrait d’une femme aux mille facettes et explore les thèmes du désir, du vieillissement, de la
27 févr. 20191 min de lecture


« Le Chant du Loup »
de Antonin Baudry (2019)
« Il y a trois sortes d’hommes: les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer ». La caméra nous emmène dès les premières minutes à bord d’un sous-marin dont l’équipage est en danger de mort. Un début qui annonce la couleur, qui prévient le spectateur qu’il sera prisonnier de cette
20 févr. 20191 min de lecture


« Grâce à Dieu »
de François Ozon (2019)
Un sujet encore chaud, frais et non conclu: les actes de pédophilie du père Preynat. Pour le traiter, François Ozon choisit cette fois de soigner particulièrement l’écriture et ses personnages. On rentre dans le vif du sujet dès l’ouverture, grâce à une voix off crue, qui génère les sentiments de malaise
20 févr. 20191 min de lecture


« Euforia »
de Valeria Golino (2019)
Dans cette Italie d’argent et de désinvolture, Valeria Golino livre une histoire intense et tendre sur la rivalité et l’amour de deux frères que tout oppose. Sa mise en scène délicate et les interpretations des deux acteurs en font ressortir tout le mélodrame, en proposant un film humble et, en second
20 févr. 20191 min de lecture


« Deux Fils »
de Félix Moati (2019)
Trois hommes, trois âges différents, trois crises existentielles. Toute la force de ce premier film gît dans le scénario méticuleux et l’interprétation de ses acteurs - le trio Benoit Poelvoorde, Vincent Lacoste et Mathieu Capella rend sensiblement honneur à ces personnages tragi-comiques. Une comédie délicate qui dépeint avec tendresse et humour
13 févr. 20191 min de lecture


«Un grand voyage vers la nuit »
de Bi Gan (Di qiu zui hou de ye wan, 2018)
« Un grand voyage vers la nuit » est bien plus qu’un simple film, c’est une expérience de cinéma, un vrai voyage contemplatif. Sa particularité ? Le mélange de 2D et 3D. Les couleurs et les plans séquences qui créent une vraie atmosphère envoûtante. On suit un
30 janv. 20191 min de lecture
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