QUE VOIR AU CINÉMA ?

de Terrence Malick (The Thin Red Line, 1998) 2h50 de poésie, d’images à la fois dures et délicates, de personnages à la fois détestables et admirables, accompagnés d’une bande originale qui nous amène las-bas, au cœur du Pacifique aux apparences paradisiaques. On a peur, on a mal, on souffre avec eux, et plus le film

de Alexis Michalik (2018) Drôle et vivant, un film en costumes réussi rendant joliment honneur au poète et à sa pièce. Des personnages complets et attachants et un montage rythmé font d’Edmond un film agréable pour les amants de la littérature, du théâtre et pas que !

de Sébastien Marnier (2018) Une salle de classe, des élèves concentrés sur leur devoir, un professeur qui se penche et se jette par la fenêtre. L’heure de la sortie s’ouvre en nous présentant le déclin. A travers la maturité avancée de cinq élèves prtodigues et l’obsession de leur professeur suppléant, Sébastien Marnier nous livre un

de Luis Ortega (El Angél, 2018) Éclatant, déroutant et absurde -d’apparence naïve au cœur de la criminalité de Buenos Aires. Au travers de répliques drôles et d’une mise en scène vive et colorée, Luis Ortega nous

de Ryûsuke Hamaguchi (Netemo, Sametemo, 2019) « Asako » c’est le dessin d’une jeune femme emprisonnée dans les réminiscences d’un amour passé. C’est un drame en trois actes sur la cristallisation du fantasme et du désir, un conte qui explore intimement les subtilités de l’amour, la passion et l’obsession. « Asako » c’est la délivrance du passé pour se

de Bob Persichetti & Peter Ramsey (Spider Man : Into the Spider-Verse, 2018) Un film d’animation qui dépasse tous ceux que vous avez l’habitude de voir, une version de Spider-Man originale, un scénario et une animation maîtrisés, rendant grandement hommage à l’univers créé par Stan Lee. « Spider-Man: New Generation » est donc bien plus qu’un simple

de Lars Von Trier (2018) 2h35 de malaise profond, de gênance face à cette violence stylisée associée à une œuvre d’art. A travers ce personnage de serial killer psychopathe qui offusque et fascine à la fois le spectateur, Lars Von Trier nous expose le fond de son questionnement moral et, encore une fois, son obsession