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« Babygirl »

  • Photo du rédacteur: Charlotte Fuga
    Charlotte Fuga
  • 15 janv.
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 18 mai

de Halina Reijn (2024)

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Le brio de « Babygirl », c’est qu’il nous emmène là où on ne s’y attend pas.


Ce film, d’apparence simple et érotique, nous surprend et nous embarque bien plus loin que la thématique du rapport de force, paraissant être l’évident moteur de l’intrigue.


« Babygirl », c’est le parcours d’une femme, son chemin de compréhension de soi, jusqu’à l’acceptation de soi.


« Babygirl », c’est dureté et douceur qui cherchent un équilibre.


« Babygirl », c’est une femme en quête d’équilibre, de pouvoir, c’est l’exploration de la sexualité d’une femme, vu par une femme, sans aucun jugement moral. 


Filmée avec une bienveillance rare, Nicole Kidman dans le rôle de cette femme carriériste qui se découvre et s’assume est bluffante. Tellement vraie et authentique dans son interprétation, elle est le parfait sujet dans cette version adaptée et revisitée du thriller érotique, qui valse sur ces nouveaux codes du female gaze. 


Au delà de l’attention évidente à la mise en scène et à l’écriture de ces personnage, « Babygirl » est à voir pour son fond plus profond qu’il n’y parait, et enfin cette alchimie marquante entre Nicole Kidman et Harris Dickinson.


Sortie salle (France) : 15 janvier 2025, SND


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© 2025 by @lavisdecharlie

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