QUE VOIR AU CINÉMA ?

de Bi Gan (2025) Pour son troisième long-métrage, Bi Gan choisit de nous faire voyager dans une fresque centenaire aux accents d’expérimental,

de Yang Li (Cong 21 Shi Ji an Quan Che Li, 2025) Été 1999. Wang Zhang, Chengyong et Pao Pao, sont trois adolescents qui profitent de cette période insouciante de leur jeunesse. Jusqu’à ce qu’un plongeon dans des eaux colorées ne change tout, altère leur ADN et leur permet de voyager dans le temps grâce à un simple éternuement.

de Jianjie Lin (2024) Shuo est un adolescent seul et mystérieux. Mais dès lors qu’il se rapproche de Wei, sa vie bascule du tout au tout. Il gagne

de Ray Yeung (All Shall Be Well, 2024) Mélodrame doux, délicat et impitoyable, où Ray Young nous raconte, avec la simplicité et l’empathie qui caractérisent son cinéma, comment l’argent et le patrimoine viennent détruire toute valeur morale et prévalent sur les liens affectifs familiaux. Un récit simple, mais dur, révélant la cruauté de l’homophobie dans

de Lulu Wang (The Farewell, 2020) Lorsqu’ils apprennent que leur grand-mère Nai Nai est atteinte d’une maladie incurable, ses proches décident, selon la tradition chinoise, de lui cacher la vérité. Inspiré d’un fait divers, « L’ Adieu » est touchant parce qu’à travers ce sentiment dramatique palpable, le film fait honneur aux valeurs de la vie

de Xiaogang Gu (Chun jiang shui nuan, 2019) Premier film et premier volet d’une trilogie, « Séjour dans les monts Fuchun » suit le destin d’une famille qui s’écoule au rythme de la nature, à travers le cycle des saisons et de la vie d’un fleuve. Tourné sur deux ans au gré des saisons, ce

de Wi-ding Ho (Xing Fu Cheng Shi, 2019) Néon, violence et mort. C’est ainsi que nous sommes plongé dans « Face à la nuit » et cette histoire à la linéarité renversée. Un mélange de genres et d’ambiance, faisant honneur à certains chefs d’œuvres du cinéma chinois, qui apportent cette touche à la fois noire et universelle

de Jia Zhangke (Jiang Hu Er Nü, 2019) Ce polar chinois nous plonge dans le réalisme de la pègre et au cœur d’une violence masculine dominante et oppressante. Outre sa mise en scène expérimentale qui rend les scènes de violence presque poétiques, la force de ce mélodrame en trois actes gît dans le personnage de

de Bi Gan (Di qiu zui hou de ye wan, 2018) « Un grand voyage vers la nuit » est bien plus qu’un simple film, c’est une expérience de cinéma, un vrai voyage contemplatif. Sa particularité ? Le mélange de 2D et 3D. Les couleurs et les plans séquences qui créent une vraie atmosphère envoûtante. On suit un