de Jean-Stéphane Sauvaire (Asphalt City, 2023)
Assez controversé, ce drame a de quoi marquer. Malgré sa première partie crue, mais malheureusement traitée de manière superficielle, le film atteint une autre dimension lorsque le réalisateur s’autorise enfin à aller au bout des choses, à dénuder ses personnages en profondeur, et exploiter la cruauté de leur métier
de Terrence Malick (The Thin Red Line, 1998)
2h50 de poésie, d’images à la fois dures et délicates, de personnages à la fois détestables et admirables, accompagnés d’une bande originale qui nous amène las-bas, au cœur du Pacifique aux apparences paradisiaques. On a peur, on a mal, on souffre avec eux, et plus le film