de Terrence Malick (The Thin Red Line, 1998)
2h50 de poésie, d’images à la fois dures et délicates, de personnages à la fois détestables et admirables, accompagnés d’une bande originale qui nous amène las-bas, au cœur du Pacifique aux apparences paradisiaques. On a peur, on a mal, on souffre avec eux, et plus le film